Les infractions routières constatées par radar et vidéo-verbalisation se multiplient
Publié le 21/02/17
De plus en plus d’infractions au Code de la route sont constatées par radar ou grâce à la vidéo-verbalisation (conducteur filmé par une caméra implantée sur la voie publique), c’est-à-dire sans qu’un policier ou un gendarme ait eu besoin d’arrêter le véhicule sur le bord de la route.
Depuis le 1er janvier 2017, pas moins de 11 infractions sont concernées :
défaut du port de la ceinture de sécurité ;
usage d’un téléphone portable tenu en main ;
usage de voies et chaussées réservées à certaines catégories de véhicules (bus, taxis...) ;
circulation sur les bandes d’arrêt d’urgence ;
non-respect des distances de sécurité entre les véhicules ;
franchissement et chevauchement des lignes continues ;
non-respect des signalisations imposant l’arrêt des véhicules (stop, feu rouge...) ;
non-respect des vitesses maximales autorisées ;
non-respect des règles de dépassement ;
non-respect de l’espace compris entre les deux lignes d’arrêt prévu pour les vélos ;
défaut du port d’un casque homologué pour les conducteurs d’un deux-roues motorisé.
Une fois l’infraction constatée, un avis de contravention est envoyé au domicile du titulaire du certificat d’immatriculation (carte grise).